Les Russes ont lancé une attaque de missiles sur un café à Kramatorsk. L'attaque russe a fait 11 morts et 60 blessés. Parmi les morts figurent deux sœurs âgées de 14 et 16 ans. La pizzeria bondée du centre de la ville a semblé aux terroristes russes un excellent objet pour leur rappeler leur "droit de tuer" par le droit de la "race supérieure". Il est pratiquement impossible de supposer qu'il s'agit d'un "hit and miss". 
Il n'y avait rien de "militaire" autour de la pizzeria. Les médias de Poutine ne cherchent plus d'excuses, mais triomphent et jubilent ouvertement.

Le racisme russe n'est pas différent de tout autre racisme. Il accorde une indulgence pour tout crime commis "pour la gloire de la race". Il relègue aussi automatiquement tous les autres peuples dans la "seconde classe", dont on peut et doit se moquer. Poutine a habilement alimenté le racisme russe et en a fait le principal moteur émotionnel de cette guerre.

D'où l'ignoble confiance des pilotes et des lanceurs de missiles russes dans leur "droit" à "détruire" les théâtres et les maternités, les zones résidentielles et les villes ukrainiennes.